Le lendemain une cache plus sure est recherchée. Il est alors décidé d'enterrer le chevrier dans le jardin d'André Porte. Pour des motifs de discrétion, seulement quatre résistants participent à l'opération. Si aucun d'eux n'avait survécu à la guerre elle serait encore enterrée. Rétablie après la guerre à son emplacement, place du Marché, elle subit en 1982, un acte de vandalisme, heureusement sans gravité. Lorsqu'on la dépose, on y découvre à l'intérieur, une feuille manuscrite racontant son histoire pendant l'Occupation. Installée à la mairie, en attendant sa réfection par des spécialistes, le Chevrier trouve une nouvelle présentation et un autre emplacement en 1987.